

Article de catégorie D. VENTE INTERDITE AUX MINEURS.
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Le Canon Yorktown Ardesa calibre .50 (réf. CN4) est une réplique à poudre noire d’un canon de campagne léger de la fin du XVIIIe siècle. Monté sur affût bois à grandes roues, il reproduit fidèlement les caractéristiques visuelles et mécaniques des pièces d’artillerie mobile utilisées pendant la guerre d’indépendance. Son format maniable et son esthétique élégante en font un choix apprécié pour la reconstitution ou la collection.
Marque : Ardesa
Référence : CN4
Type : Canon de campagne monté sur roues
Calibre : .50
Calibre réduit et affût léger facilitant la manipulation et l’exposition.
Affût à grandes roues, ligne basse, silhouette fidèle aux modèles de 1770–1790.
Convient à la démonstration, la décoration, la reconstitution ou le tir contrôlé.
Référence directe à une pièce emblématique de la guerre d’indépendance américaine.
Reconstitution période guerre d’indépendance (1775–1783)
Exposition ou collection thématique XVIIIe siècle
Tir à blanc ou à la poudre noire encadré
Accessoire historique pour musée ou événement commémoratif
Nettoyez le canon et l’affût après chaque utilisation ou manipulation.
Entretenez les roues et l’axe pour garantir la mobilité.
Stockez dans un lieu sec pour préserver le bois et le métal.
Le Canon Yorktown Ardesa calibre .50 – réf. CN4 – est une réplique remarquable d’un canon de campagne de la fin du XVIIIe siècle. À la fois fonctionnel, décoratif et historiquement fidèle, il séduira les amateurs de reconstitution, les passionnés d’histoire américaine ou les collectionneurs d’artillerie miniature.
Le canon Yorktown fait référence aux pièces d’artillerie utilisées lors de la bataille de Yorktown, ultime affrontement majeur de la guerre d’indépendance américaine en octobre 1781. Ce siège, mené par les forces continentales du général George Washington et les troupes françaises du comte de Rochambeau, contre les forces britanniques du général Cornwallis, scelle la victoire des insurgés et la naissance des États-Unis. Le rôle central de l’artillerie dans cette bataille a érigé ces canons au rang de symboles historiques puissants.
Les canons de Yorktown étaient de conception variée, issus à la fois des arsenaux américains, français et capturés britanniques. On y retrouvait principalement des canons de campagne de 3 à 12 livres, des obusier de 5,5 pouces, et même des mortiers lourds capables de pilonner les redoutes ennemies à longue distance. Les canons français, notamment les pièces du système Gribeauval, apportaient une supériorité technique et une mobilité inédite sur le champ de bataille. Ces pièces à âme lisse, chargées par la bouche, étaient montées sur affûts à grandes roues et tirées par des attelages de chevaux pour une réactivité maximale.
Durant le siège de Yorktown, l’artillerie joua un rôle décisif : après avoir creusé des tranchées d’approche, les alliés mirent en batterie plus de 70 pièces d’artillerie, bombardant sans relâche les fortifications britanniques. Les tirs concentrés permirent de réduire au silence les canons ennemis et d’ouvrir la voie aux assauts finaux, notamment sur les redoutes 9 et 10. En moins de deux semaines, les lignes anglaises s’effondrèrent, forçant la reddition du général Cornwallis le 19 octobre 1781.
Aujourd’hui, les canons de Yorktown sont conservés et exposés sur le champ de bataille historique de Yorktown, en Virginie, devenu un lieu de mémoire nationale. Ils représentent la puissance décisive de l’artillerie dans la conquête de la liberté, mais aussi la coopération entre la France et les futurs États-Unis. Chaque canon, chaque affût, chaque impact dans le sol évoque la détermination, la stratégie et le courage fondateur d’un peuple en lutte pour son indépendance.