

Article de catégorie D. VENTE INTERDITE AUX MINEURS.
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Le pistolet Queen Anne Laiton calibre .50 de Davide Pedersoli est une réplique historique fidèle, dotée d’une platine à silex, d’un canon lisse fixe et de superbes garnitures en laiton poli. Sa crosse galbée en noyer poncé huilé souligne l’élégance du modèle. Compact et raffiné, il est parfaitement adapté pour la collection, les reconstitutions ou les présentations historiques inspirées du XVIIIe siècle.
Marque : Davide Pedersoli
Modèle : Queen Anne Laiton
Référence : DPS329
Calibre : .50
Système : Platine à silex
Canon : Lisse, laiton
Garnitures : Laiton poli
Crosse : Noyer poncé huilé, galbée
Finition : Style anglais raffiné XVIIIe siècle
Longueur totale : Environ 26 cm
Garnitures en laiton, finitions sobres et élégantes.
Idéal pour la vitrine, la reconstitution ou le tir de loisir à courte distance.
Reproduction fonctionnelle des armes anglaises du XVIIIe siècle.
Qualité, ajustement et durabilité au rendez-vous.
Collection d’armes de gentleman du XVIIIe siècle
Reconstitution et tir traditionnel à la poudre noire
Présentation ou exposition historique
Accessoire de costume civil ou bourgeois d’époque
Utilisez des balles calibre .490 (ronde), avec calepin.
Préparez bien le silex et le bassinet pour garantir une mise à feu fiable.
Nettoyez après usage, en insistant sur la platine et les garnitures laiton.
Stockez dans un coffret sec, pour préserver bois et métal.
Le pistolet Queen Anne Laiton calibre .50 réf. DPS329 de Pedersoli est une réplique élégante, fidèle et raffinée d’un modèle anglais emblématique. Garnitures en laiton, finitions traditionnelles et qualité de fabrication en font une pièce d’exception pour les amateurs d’armes historiques.
Le pistolet Queen Anne est un type de pistolet à silex développé en Angleterre au tournant du XVIIIe siècle, sous le règne de la reine Anne (1702–1714), dont il tire son nom. Raffiné, compact et mécaniquement novateur pour son époque, il devient l’arme de prédilection des gentlemen, officiers, diplomates et aristocrates, recherchant une arme de défense élégante et discrète, souvent portée au ceinturon ou glissée dans un manteau de voyage.
Ce qui distingue le pistolet Queen Anne, au-delà de son esthétisme, c’est sa construction monobloc innovante, avec platine et canon en une seule pièce vissée directement dans la crosse. Le canon, souvent court, lisse ou légèrement rayé, est généralement en calibre .45 à .60, conçu pour le tir à courte portée, en contexte urbain ou en duel spontané. L’arme est chargée par la bouche, mais avec une particularité unique : l’amorçage se fait par l’arrière du canon grâce à un système à vis, simplifiant l’opération.
Les pistolets Queen Anne présentent une silhouette compacte et harmonieuse, avec une crosse galbée en noyer, souvent sculptée ou incrustée, et des garnitures en argent, en laiton ou en acier gravé. Les platines à silex sont généralement finement décorées, portant les signatures d’armuriers réputés comme John Shaw, Twigg, Barbar, Hawkins ou Wogdon. Ces pistolets étaient fabriqués aussi bien à Londres qu’en Europe continentale, notamment en Flandre et en Allemagne, avec quelques variantes stylistiques locales.
Très prisés pour leur qualité de tir, leur esthétique luxueuse et leur portabilité, ils étaient souvent livrés en paires dans des coffrets en bois précieux, accompagnés de leurs accessoires de rechargement. Utilisés pour la défense rapprochée, mais aussi comme cadeaux diplomatiques ou objets de prestige, ils témoignent d’un raffinement martial propre à la haute société du XVIIIe siècle.
Aujourd’hui, le pistolet Queen Anne est une pièce extrêmement recherchée par les collectionneurs d’armes anciennes, les musées et les experts en art décoratif militaire. Il incarne une époque où le savoir-faire artisanal, le sens de l’honneur et le besoin de protection personnelle s’exprimaient avec grâce et efficacité.