

Article de catégorie D. VENTE INTERDITE AUX MINEURS.
Afin de l'acquérir, merci de faire parvenir par e-mail à contact@westernguns.fr ou par courrier à Westernguns - ZI Route de Domfront - BP 52455 - Rue de Boucicaut - 61100 Flers une copie de votre pièce d'identité (Carte d'identité, Passeport,Titre de séjour...).
Davide Pedersoli propose une réplique fidèle du fusil Charleville An IX Dragons à silex, en calibre .69. Conçu pour les passionnés d’histoire militaire et de tir traditionnel, ce modèle dispose d’un canon lisse, d’une platine à silex solide et de finitions soignées, fidèles à l’arme d’origine.
Son format plus court le rend plus maniable que les fusils d’infanterie standard, tout en gardant une grande efficacité au tir. Les garnitures en laiton, la monture en noyer et les finitions historiques en font une arme idéale pour la reconstitution, le tir à la poudre noire et la collection.
Marque : Davide Pedersoli
Modèle : Charleville An IX Dragons
Référence : DPS292
Calibre : .69
Système : Platine à silex
Canon : Lisse, longueur réduite spécifique Dragons
Crosse : Bois de noyer
Garnitures : Laiton poli
Finition : Historique napoléonienne
Reproduction fidèle du fusil des Dragons de l’Empire.
Format plus court pour un usage monté ou à pied.
Esthétique et caractéristiques conformes aux standards du Premier Empire.
Reconstitution napoléonienne (Dragons, cavaliers, artilleurs)
Tir à la poudre noire avec balle ronde calepinée (.675 )
Collection d’armes réglementaires Empire
Exposition historique ou démonstration
Utilisez des balles rondes calibre .675 avec calepin lubrifié.
Vérifiez l’état du silex et de la batterie pour un allumage efficace.
Nettoyez le canon après chaque séance.
Protégez les parties métalliques de l’oxydation avec un entretien régulier.
Le fusil Charleville An IX Dragons calibre .69 (réf. DPS292) est une superbe réplique pour les amateurs d’histoire militaire française. Une arme emblématique de la cavalerie napoléonienne, aussi belle à manier qu’à collectionner.
Le fusil Charleville modèle An IX des Dragons, à platine silex et calibre .69, est une déclinaison spécifique du fusil d’infanterie An IX, conçue pour équiper les troupes montées, en particulier les régiments de dragons de l’armée napoléonienne. Ce modèle symbolise la polyvalence du dragon, capable de combattre à cheval comme à pied, et nécessite donc une arme plus courte, plus maniable et plus robuste, adaptée à un port en bandoulière ou sur la selle.
Fonctionnant avec le système à silex réglementaire, ce fusil est chargé par la bouche et tire une balle sphérique de calibre .69, identique à celle des fusils d’infanterie, permettant ainsi une standardisation de la logistique sur le champ de bataille. Le canon lisse est légèrement raccourci (environ 98 à 102 cm) par rapport au fusil d’infanier, ce qui facilite son maniement à cheval ou lors de déplacements rapides en terrain difficile.
La crosse en noyer, plus compacte, est renforcée au niveau de la calotte et souvent dotée d’un anneau de bretelle latéral spécifique au port monté. Les garnitures en fer poli, la baïonnette à douille, et la platine robuste sont identiques à celles du modèle de ligne, garantissant une puissance de feu équivalente, mais avec une mobilité accrue. Ce fusil était attaché à la selle ou porté en travers du dos, prêt à être utilisé dès que le cavalier posait pied à terre pour soutenir une position ou former la ligne.
Distribué aux régiments de dragons, de carabiniers montés et parfois aux gendarmes d’élite, le fusil An IX des Dragons a vu l’action sur tous les champs de bataille du Premier Empire, de l’Espagne à l’Autriche, jusqu’aux steppes russes. Il faisait partie de l’arsenal des unités capables de s’adapter à toutes les configurations tactiques, entre charge sabre au clair et feu nourri en ligne.
Aujourd’hui, le Charleville An IX des Dragons à silex est une pièce très recherchée dans les cercles de reconstitution napoléonienne, les musées militaires et les collections privées, car il incarne l’union entre la mobilité de la cavalerie et la discipline de l’infanterie, dans une période où chaque soldat devait être prêt à tout.