

Article de catégorie D. VENTE INTERDITE AUX MINEURS.
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La réplique proposée par Davide Pedersoli respecte fidèlement les lignes et spécificités du modèle 1798 original. Doté d’un canon lisse en calibre .69, d’une platine à silex soignée et d’un bois massif en noyer, ce fusil est parfaitement adapté à la reconstitution historique et au tir à la poudre noire.
Solide, imposant et élégant, il séduit aussi bien les collectionneurs que les passionnés d’histoire militaire autrichienne. Son authenticité en fait une pièce idéale pour illustrer les armées impériales de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècle.
Marque : Davide Pedersoli
Modèle : 1798 Infanterie Autrichienne
Référence : DPS263
Calibre : .69
Système : Platine à silex
Canon : Lisse, longueur conforme aux standards militaires autrichiens
Crosse : Bois de noyer massif
Garnitures : Laiton et acier
Finition : Réplique historique
Conception fidèle à l’arme d’origine autrichienne de 1798.
Calibre .69, idéal pour les démonstrations et tirs en ligne.
Monture en noyer, garnitures traditionnelles, fabrication soignée.
Reconstitution historique des armées impériales autrichiennes
Tir à la poudre noire avec balle ronde calepinée (.675)
Collection d’armes militaires du XVIIIe siècle
Usage muséal ou pédagogique
Utilisez des balles rondes de calibre .675 avec calepin lubrifié.
Nettoyez le canon après chaque tir.
Vérifiez l’état du silex et du bassinet avant chaque utilisation.
Stockez dans un endroit sec, avec un entretien régulier des surfaces métalliques.
Le fusil 1798 Infanterie Autrichienne à silex calibre .69 (réf. DPS263) est une réplique exceptionnelle, fidèle à l’arme de service des troupes impériales. Un incontournable pour les reconstitueurs, tireurs et collectionneurs d’armes historiques européennes.
Le fusil d’infanterie modèle 1798 à silex, en calibre .69 (17,5 mm), est le fusil réglementaire adopté par les forces impériales autrichiennes à la veille des guerres napoléoniennes. Mis en service dans un empire en pleine réforme militaire, ce modèle représente la volonté de modernisation des armées des Habsbourg, face aux bouleversements tactiques et idéologiques engendrés par la Révolution française. Il est l’arme du soldat impérial qui affronte les troupes de la République, puis celles de Bonaparte, de l’Italie du Nord aux confins de la Pologne.
Fonctionnant avec un système à platine silex robuste et épuré, ce fusil est chargé par la bouche et conçu pour tirer une balle sphérique en plomb de calibre .69, semblable aux standards français, facilitant une certaine interopérabilité logistique sur le théâtre européen. Le canon lisse, de plus d’un mètre, assure un tir efficace en ligne jusqu’à 80-100 mètres. Son poids important, conjugué à une construction solide, en fait une arme endurable, fiable, mais relativement lente à manier, pensée pour le combat en rang serré.
Sa crosse en noyer, droite et massive, est renforcée au talon pour supporter les chocs, tandis que les garnitures en laiton ou en fer poli donnent à l’arme une allure sobre, utilitaire et durable. La baïonnette à douille, longue et solide, complète ce fusil dans son rôle d’arme de ligne, adaptée aux charges frontales, à la défense des positions et aux combats en formation.
Ce modèle 1798 sera utilisé pendant toute la première phase des guerres napoléoniennes, jusqu’à ce qu’il soit progressivement remplacé par des versions améliorées comme le modèle 1807/1809, parfois transformé à percussion après 1840. Il équipe alors les régiments de ligne de Bohême, de Galicie, de Hongrie, et de l’ensemble des provinces de l’empire, devenant un symbole de discipline, de constance et de résistance face à la puissance de feu française.
Aujourd’hui, le fusil autrichien 1798 à silex est une pièce rare et précieuse pour les collectionneurs et reconstituteurs, car il incarne la rigueur militaire d’un empire ancien confronté à la modernité révolutionnaire, et témoigne d’un art de la guerre où l’ordre comptait plus que la vitesse.