

Article de catégorie D. VENTE INTERDITE AUX MINEURS.
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Le pistolet Mamelouk Pedersoli calibre 14 est une fidèle réplique d’un modèle oriental du début du XIXe siècle. Doté d’un système à silex fonctionnel, il reprend les codes esthétiques des armes ottomanes : crosse galbée, garnitures en laiton, ligne élancée. Ce pistolet tire des projectiles de calibre 14 (environ 17,5 mm), en faisant une arme imposante, à la fois décorative et pleinement fonctionnelle pour le tir à la poudre noire.
Marque : Davide Pedersoli
Modèle : Mamelouk
Référence : DPS370
Calibre : 14 (≈17,5 mm)
Système : Silex
Finition : Canon bronzé, garnitures laiton
Crosse : Bois sculpté, forme orientale
Usage : Collection, reconstitution, tir traditionnel
Inspiré des modèles égyptiens et ottomans du début du XIXe siècle.
Silex fonctionnel, proportions d’origine, décorations classiques.
Idéal pour la démonstration, le tir de tradition ou l’exposition.
Gage de fiabilité et de finition artisanale soignée.
Reconstitution napoléonienne / Égypte 1798–1801
Collection d’armes orientales historiques
Tir à la poudre noire avec mécanisme silex
Présentation ou décoration militaire classique
Utilisez une balle avec calepin pour un bon ajustement.
Préparez minutieusement le bassinet pour une mise à feu fiable.
Amorcez avec de la poudre fine adaptée au silex.
Nettoyez soigneusement l’arme après chaque utilisation.
Le pistolet Mamelouk Pedersoli calibre 14 réf. DPS370 est une réplique authentique et imposante, fidèle aux inspirations orientales du XIXe siècle. Parfait pour la collection, la reconstitution napoléonienne ou le tir au silex, il conjugue esthétique, puissance et savoir-faire artisanal.
Le pistolet mamelouk est une arme de poing orientale emblématique, étroitement associée aux guerriers cavaliers du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, notamment les mamelouks — une caste militaire d’élite d’origine turco-circassienne ayant dominé l’Égypte entre le XIIIe et le début du XIXe siècle. Raffiné, équilibré et redoutable à courte distance, ce pistolet incarne l’art de la guerre chevaleresque orientale, où l’esthétique allait de pair avec la létalité.
Fonctionnant à silex, avec une platine de type ottoman ou parfois à la française, le pistolet mamelouk est chargé par la bouche et tire des balles de gros calibre, souvent autour du .54. Il est généralement doté d’un canon long, lisse, parfois décoré de motifs floraux, arabesques ou calligraphies gravées, et d’une crosse galbée très caractéristique, souvent en bois précieux ou en ivoire, incrustée de nacre ou d’argent. Sa silhouette courbée et fine, sa platine richement décorée, en font autant une œuvre d'art qu’un instrument de combat.
Ces pistolets étaient utilisés en paire, glissés dans la ceinture ou dans des fontes de selle, et accompagnaient les cavaliers mamelouks lors des charges à sabre et des escarmouches rapides. Lors de la campagne d’Égypte de Napoléon Bonaparte (1798–1801), ces armes fascinèrent les officiers français par leur beauté et leur efficacité. C’est d’ailleurs de cette rencontre que naîtra le sabre mamelouk, intégré dans les traditions militaires françaises, britanniques et même américaines.
Aujourd’hui, le pistolet mamelouk est recherché pour sa rareté, son raffinement artisanal et son rôle historique dans les échanges militaires et culturels entre l’Orient et l’Occident. Il est le symbole d’une époque où l’élite militaire se distinguait autant par son panache que par la qualité de ses armes, et incarne la fusion entre l’art islamique, la tradition guerrière nomade et l’héritage impérial.